les testicules peuvent-ils éclater ?

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Andropause: un intérêt montant pour une testostérone en baisse

Andropause: un intérêt montant pour une testostérone en baisse

Pour rappel, cette hormone est à l’origine de toutes les spécificités masculines, comme la voix grave, la pilosité ou encore la masse musculaire. En plus d’un éventuel traitement hormonal substitutif, il existe divers médicaments qui peuvent être prescrits pour soulager certains symptômes spécifiques de l’andropause. Ce déclin physiologique peut être accéléré par des facteurs génétiques. Certains hommes sont prédisposés par leur patrimoine génétique à une baisse précoce des hormones androgènes. Concrètement, le taux de testostérone passe sous la barre des 3 ng/ml (nanogrammes par millilitre) vers ans en moyenne. Cependant, il n’existe pas de limite précise car l’andropause est un processus progressif et continu.

Ils apportent également un effet relaxant bénéfique contre le stress. Bref, les manifestations de l’andropause sont multiples, à la fois physiques et psychologiques. Il faut être attentif à ces signaux d’alerte souvent discrets pour pouvoir agir à temps.

L’andropause, généralement à partir de 45  ans, est un ensemble de symptômes physiologiques liés à la baisse de sécrétion de testostérone ainsi que d’autres hormones sexuelles chez l’homme. Ce déficit de baisse de la sécrétion de testostérone est lié à l’âge. La testostérone est une hormone sexuelle sécrétée par les gonades (organes sexuels). Cette hormone joue un rôle important dans le bien-être émotionnel et physique de l’homme. Chez l’homme, elle est principalement produite dans les testicules à partir de la puberté avec un point culminant vers l’âge de 20 ans.

Même une activité modérée et régulière peut améliorer vos taux hormonaux. Je ne suis pas une professionnelle de santé mais une personne qui a eu des proches victimes du cancer. Les informations fournies sur ce blog santé sont destinées à améliorer, non à remplacer, la relation qui existe entre le visiteur du site et son médecin. L’endocrinologue, qui pratique depuis 30 ans au Centre hospitalier de l’Université de Montréal, fait partie de ces rares spécialistes qui se penchent sur la question au Québec. D’entrée de jeu, elle met en garde contre une idée reçue voulant que l’andropause soit l’équivalent masculin de la ménopause.

L’andropause se caractérise par une baisse progressive du taux de Alan Ritchson testostérone (bottropsport.de) chez l’homme au fur et à mesure qu’il vieillit. Toutefois, contrairement à la ménopause féminine, la diminution de cette hormone masculine dans le sang n’entraîne pas un arrêt de la production des spermatozoïdes et une infertilité. Traiter juste ses problèmes d’érection n’est pas une réponse suffisante. Il faut savoir pourquoi il est ainsi, faire les bons dosages hormonaux et lui expliquer que la baisse des hormones mâles peut induire les autres symptômes. Le patient doit être soutenu, accompagné, et sentir qu’on traite son problème dans sa globalité, en ne négligeant aucun aspect. À partir de 50 ans, de nombreux hommes constatent une baisse de leur testostérone. Cette hormone joue un rôle essentiel dans la vitalité, la masse musculaire, la libido et l’humeur.

Si un déficit en testostérone est suspecté suite à un interrogatoire et un examen clinique complets, le diagnostic sera confirmé par le dosage sanguin du taux de testostérone, qui doit être réalisé entre 8 et 10h du matin. Certains troubles physiques tels que la diminution de la masse musculaire, une diminution du volume des testicules, une augmentation du périmètre abdominal et une régression de la pilosité peuvent aussi être relevés. Le traitement le plus couramment prescrit, mais parfois controversé, est l’hormonothérapie (testostérone). Pour bénéficier de ce traitement, le diagnostic doit être confirmé et les contre-indications respectées. L’andropause est associée à une diminution du nombre de cellules de Leydig ( cellules productrices de testostérone) ainsi qu’une baisse de leur capacité à produire l’hormone mâle (de 0,5 à 1% par année). Une fois produite, la testostérone est métabolisée soit en dihydrotestostérone (DHT) – la forme active – soit en œstrogènes. Si la réponse n’est pas suffisante, parce qu’il ne fabrique plus de testostérone, on choisit un traitement avec des gonadotrophines chorioniques afin de stimuler la fabrication de testostérone.

À partir de 30 ans, le taux de testostérone dans le sang diminue naturellement. La différence entre la ménopause et l’andropause est que, chez l’homme, la reproduction reste possible. L’andropause, ou déficit androgénique lié à l’âge, est l’équivalent masculin de la ménopause des femmes. La baisse de la sécrétion des hormones androgènes, dominées par la testostérone, affecte les caractères sexuels secondaires masculins et peut nuire à la fonction érectile et à la fertilité masculine. Si elle survient chez un homme encore jeune, elle peut nécessiter une prise en charge adaptée, pour limiter l’impact sur la qualité de vie. L’andropause, encore appelée le déficit androgénique lié à l’âge, correspond au pendant masculin de la ménopause. Moins connue et plus controversée que la ménopause qui touche les femmes, l’andropause concerne néanmoins une proportion croissante des hommes, en particulier chez les plus âgés.

Puis des analyses régulières permettent d’ajuster les doses et de surveiller d’éventuels effets secondaires. Le THS doit être vu comme un traitement au long cours, à adapter avec le temps. On les met d’abord sur le compte de la fatigue, du stress, avant de réaliser qu’ils sont liés à l’andropause.