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Testosterone femme : les rôles et impacts sur la santé féminine

C’est quoi la testostérone ? Définition, rôle et taux normal

“La testostérone joue un rôle dans la distribution des graisses, et des niveaux élevés peuvent entraîner une prise de poids, en particulier autour de l’abdomen”, déclare le Dr Emily Adams, chercheur en déséquilibres hormonaux. Des ajustements du mode de vie, tels que l’alimentation, l’exercice et la gestion du stress, peuvent contribuer à maintenir des niveaux équilibrés d’hormones. Les suppléments de testostérone ne doivent être utilisés que lorsque des déficiences sévères sont diagnostiquées et doivent être prescrits par un professionnel de la santé qualifié. Pour optimiser les niveaux de testostérone chez les femmes, il est recommandé d’adopter une alimentation équilibrée et nutritive, de faire de l’exercice régulièrement, de gérer le stress et de veiller à un sommeil de qualité. Il est important de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils personnalisés.

Combinée à l’œstrogène, l’hormone sexuelle féminine, la testostérone aide à la croissance, au maintien et à la réparation des tissus reproducteurs, de la masse osseuse et des comportements humains chez la femme. La testostérone n’est pas seulement l’hormone de la sexualité et de la fertilité masculines. Il est important de consulter un professionnel de la santé pour évaluer les niveaux hormonaux et déterminer si des suppléments de testostérone sont nécessaires. Enfin, une testostérone équilibrée peut avoir un impact positif sur l’humeur et le bien-être général des femmes. Elle peut aider à atténuer les symptômes de la dépression, de l’anxiété et de l’irritabilité, favorisant ainsi une meilleure qualité de vie. La testostérone est également bénéfique pour la croissance musculaire et la force chez les femmes.

Il est important de noter que des niveaux de testostérone équilibrés sont nécessaires chez les femmes, et un excès de cette hormone peut également avoir des effets indésirables. Il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour évaluer les niveaux hormonaux et déterminer les ajustements nécessaires en fonction des besoins individuels. Les œstrogènes systémiques ne sont pas indiqués dans le traitement du trouble de l’excitation/de l’intérêt sexuel. Les œstrogènes transdermiques sont habituellement préférés à la ménopause, mais aucune donnée ne montre la supériorité d’une certaine molécule quant aux troubles de la sexualité.

Afin de traiter cette condition, il faudra identifier la cause de l’hyperandrogénie (qui peut être d’origine ovarienne ou surrénale). La cause de cette surproduction de testostérone est en général liée à un trouble fonctionnel de l’ovaire. Il est également possible chez les femmes qui le souhaitent d’acheter de la testostérone et donc de prendre des boosters de testostérone.

Des déséquilibres hormonaux peuvent causer des troubles de l’humeur, notamment la dépression et l’anxiété. L’hirsutisme est une condition hormonale chez les femmes qui provoque la croissance de poils indésirables, en particulier sur le dos, le visage et la poitrine. La quantité de pilosité corporelle dépend fortement de la génétique, mais cette condition est principalement causée par un déséquilibre des hormones androgènes. Un déséquilibre de testostérone dans le corps féminin peut avoir des effets néfastes sur la santé et la libido d’une femme. Cela arrive en cas d’insuffisance testiculaire, d’andropause, de syndrome de Cushing, de chimiothérapie ou d’irradiation dans le cadre d’un traitement anticancer, ou lors de la prise d’androgènes de synthèse, d’œstrogènes ou d’anti-androgènes. Chez la femme, il peut diminuer en cas de Syndrome du testicule féminisant (insensibilité aux androgènes).

À ce stade il devient important pour les femmes de se renseigner sur leur taux de testostérone. En effet, la prise de masse graisseuse n’est qu’un signe qui peut être avant-coureur de problèmes plus importants. Une simple prise de sang peut vous renseigner sur votre taux de testostérone (source, source).

Il est administré en injection sous-cutanée au moins 45 minutes avant l’activité sexuelle prévue. Les essais randomisés ont montré une augmentation du désir sexuel et aucune augmentation des événements sexuellement satisfaisants; les effets indésirables potentiels comprennent une HTA transitoire et une hyperpigmentation de la peau (4, 5). Les taux de testostérone doivent être mesurés au départ et après 3 à 6 semaines; chez la femme non ménopausée, l’objectif est de maintenir le niveau à une valeur normale ajustée pour l’âge. Si les taux sont supérieurs à la normale chez la femme non ménopausée, la testostérone est arrêtée ou la dose est diminuée. Limiter le traitement à court terme est recommandé et la testostérone doit être arrêtée en l’absence de réponse après 6 mois d’utilisation. La mammographie doit être effectuée à intervalle annuel régulier pour vérifier tout changement dans les seins en raison des effets possibles de la testostérone sur le tissu mammaire.

un faible taux de testostérone chez l’homme peut-il entraîner l’infertilité ? – innovate360.pt, programme d’entraînement de résistance combiné à des exercices cardio à haute intensité peut être particulièrement efficace. Par exemple, alterner des séries de squats avec des sprints de haute intensité peut stimuler la production de testostérone. D’autres études indiquent que des niveaux adéquats de testostérone peuvent contribuer à une meilleure densité minérale osseuse, réduisant ainsi le risque de fractures. Les bienfaits cognitifs de la testostérone ont également été explorés, avec des résultats suggérant une amélioration de la mémoire et de la concentration.

En France, seules les femmes n’ayant plus d’uterus (ayant subi une hystérectomie) peuvent prétendre à un traitement de testostérone. Dans d’autres pays (comme par exemple l’Australie) les femmes en ménopause (et non pas préménopause) peuvent bénéficier d’un traitement de testostérone. Quelques kilos en moins vont changer la donne et relancer la production de testostérone (c’est ainsi que la vitamine D l’augmente).

Vous avez besoin de protéines mais aussi de glucides et de lipides en proportions précises dans votre alimentation. “Les composants génétiques ne peuvent pas être négligés lors de l’évaluation des niveaux d’hormones chez les femmes”, explique le Dr Laura Roberts, chercheur en génétique. “Cette vague d’éléments peut compliquer un milieu hormonal déjà complexe et contribuer à divers symptômes tels que les sautes d’humeur et les changements métaboliques”, explique le Dr Anna Smith, un endocrinologue spécialisé dans la santé ménopausique. “Ces déséquilibres hormonaux peuvent parfois passer inaperçus mais ont des conséquences d’une grande portée sur la santé d’une femme”, prévient le Dr Ruth Williams, endocrinologue. L’hyperplasie surrénalienne congénitale est un trouble génétique qui conduit à une production anormale de stéroïdes, y compris des niveaux accrus de testostérone. “Bien que rare, cette condition peut perturber considérablement les processus physiologiques normaux d’une femme”, explique le Dr Ellen Taylor, généticien basé à Cambridge. Le phénomène des changements de testostérone cyclique apporte une autre couche de complexité à l’interprétation des niveaux d’hormones, indiquant que les mesures uniques peuvent ne pas toujours donner l’image complète.